Une praxis pour la paix
Biographie de Cécile Raymond
La Maison d’Édition
Les Éditions Fanfares et Chorales du monde FCM (Musique), Cécile Raymond, Éditrice (Philosophie et Psychanalyse) fut fondée le 1er janvier 2015 dans le but de publier de la philosophie, de la psychanalyse et de la musique.
Philosophe, musicienne, Éditrice et Auteure, Cécile Raymond (1943 - ) fait un Baccalauréat en musique à l’Université de Montréal, suivi d’une année de Didactiques musicales et obtenaient un permis d’enseignent en musique en 1974. Elle fait de la Suppléance en musique à la Commission scolaire de Laval. En 2005, elle obtient une Maîtrise en Philosophie au Département de philosophie de l’UQAM, ou elle rédige un mémoire sur « Les dimensions philosophiques de la relation d’aide ». En (2005 - ) , Cécile Raymond fait une psychanalyse et étudie à l’École de Psychanalyse Lacanienne de Montréal depuis 2005. Cécile Raymond est membre de l’Acfas, et a donné des conférences à « La Nuit de la philosophie de l’UQAM. En 2014, elle suit les Séminaires sur les Missions de paix, Consolidation de la paix et Les Missions Humanitaires de l’ONU au Département de Droit de l’UQAM. En 2015, Cécile Raymond fonde sa maison d’Édition : Fanfares et Chorales du monde FCM. Elle publie en musique, philosophie, et pour les Nations Unies pour les Casques bleus de l’ONU.
Qui s’exprime dans la question Qui?
En janvier 2015, Cécile Raymond crée sa Maison d’Édition : FANFARES ET CHORALES DU MONDE (FCM). Cécile Raymond publie la méthode « Qui s’exprime dans la Question Qui? Cahier du Maître et de l’élève no 1-6, version française, dont le no 1 est traduit en Anglais : « Who expressed in the question Who? Master Ethic workbook no 1 (Publications ePub). La version anglaise est utilisée par la police des Nations Unies (ex. MINUSTAH-MISSION DES NATIONS UNIES POUR LA STABILISATION en Haïti). (Voir : SAAT MATERIAL FOR POLICA OFFICERS), “Friend of ICAO, SAFETY, SECURITY AND DEVELOPMENT “.
Peace Operations Training Institute
Cécile Raymond étudie « La gestion des conflits internationaux » au Peace Operations Training Institute de l’ONU. Membre de l’Acnu et de l’UNICEF. (Voir également : IRIS.banq.qc.ca, Cécile Raymond, Éditrice et Bibliothèque et Archives Nationales du Canada. Cécile Raymond, Éditrice. Cécile Raymond est Éditrice numérique pour Les Nations Unies.
Musique
Musique : Les Éditions FANFARES ET CHORALES DU MONDE (FCM). Publication de 7 pièces « The United Nations poet ! » Auteurs : David Inkey, lyric et Cécile Raymond, musique. Cécile Raymond compose, fait des arrangements musicaux et publie des disques et des partitions musicales numériques. Elle travaille avec des poètes, auteurs, compositeurs et interprètes Québécois et de d’autres cultures. Cécile Raymond écrit pour Chœurs, piano et percussions.
Paix et sécurité
La chanson « Stop the war…and save the planet » fait référence à des préoccupations très actuelles ; alors que la guerre en Syrie n’est pas encore terminée, et que Donald Trump vient de déclarer le déménagement de l’Embassade Américaine à Jérusalem et que les Palestiniens viennent de déclarer le vendredi, journée de colère (Conflit Israélo-Palestinien). Les intentions guerrières sont toujours très présentes et menacent de détourner notre attention des dangers écologiques qui nous menacent et détruisent périodiquement certains endroits de notre terre : tempêtes tropicales, tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis, inondations etc. La chanson « Stop the war.. and save our planet » nous rappelle que nous devons négocier la paix et nous préoccuper de l’avenir de la planète… de plus en plus menacée par l’activité humaine.
Biography of David Burleson
En souvenir de David Burleson (1931-2017) peacefully left our world on New Year’s Eve. His family, friends and l’ONU celebrants his life on Martin Luther King Day at an open House at Amy Zabin’s home.
David was à Deep Springer and London School of Economics Fellow with National Science Foundation and Woodrow Wilson Grants. In preparation for a lifelong career in United Nations Diplomacy, David graduated with a Harvard Anthropology PhD and taught at Harvard University. David treasured his service as Associate Director of the Pathfinder Fund and as Visiting Professor of social Anthropology with the faculty of Médecine, University of El Salvador (Funded by the Rockefeller and Pop Council), David reached many through a myriad of Programs of Human Rights - Creating university, college and community forums, SPECIAL INTERESTS summed up by David include the theme EPIC ETHICS, « epic » being ecology, equity, education, peace, population, poverty, participation, Imagination, identity, international ( and inter species) cooperation, Curiosity creativity and culture.
David can still be reached at 1 Curiosity lane, The State of Awe, The Nation of Imagi and the universe of love. David and Nan mariée in 1970. Nan stretched David to explore skiing and hiking many preserves globally. David vas an avid swimmer and gardener on the beloved banks of the Mianus River where he and Nan loved to kayak with friends. He enjoyed making and sharing maple syrup for over three decades with his family and friends. David-Santa ´s Inkey spirit was multifaceted, genuinely transcending cultural and transcending cultural and generational challenges through Kindness. David soulfully and tirs advocated for girls ‘education and helped bridge the arch of humanity upward as part of the continuum shared by Jefferson, Twain, Thoreau, King, Gandhi and all those that have helped People his truth that We are the change that we wish to see in the world.
David was the co-founder of the Learning Center / Burleson institute and greatly enjoyed engaging with world travelers Who came to kayak, camp and find the institute’s international climate-water-energy work.
David was a Lynch-pin in bridging the institute´ s local-global human rights and environment of The United Nations. This built upon David’ s many years of commitment as UNESCO advisor to UNICEF and United Nations Poet Diplomat. The Burleson institute is part of the of the UN Climat Technology Center and Network through which it helps countries, tribes, regions and non-governmental organisations coordinate timely climate responses.
Contributions May be Made in David’s name to « Burleson Institute ». PO Box 224, Cos Cob, CT, 06807. Donations can Al so be Made through
HTTPS://www.crowdrise.com/SolarSwim60miles60days.
As a 501(c)3, the Burleson Institute continues David’s legacy Human Rights and Environment work.
Directives de sécurité pour les femmes
Bureau de coordination de la sécurité des Nations Unies
Nations Unies, New York
1995
1er septembre 1995
Peace Operations Training Institute POTI
Droits de l’Homme
Leçon 3
3.2 Droits économiques, sociaux et culturels
Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC)
Comme il a été discuté dans la leçon 1, les droits économiques, sociaux et culturels sont les droits de l’homme qui protègent les besoins socio-économiques et culturels des citoyens. Ces droits sont liés au lieu de travail, à la famille, la vie culturelle, la sécurité sociale ainsi que l’accès à la nourriture, l’eau, le logement, les soins de santé et l’éducation. Les droits économiques, sociaux et culturels sont importants pour le bien-être des citoyens. Leur déni peut avoir de sérieuses conséquences, y compris l’itinérance, la mort, l’oppression et la famine.
Les droits économiques, sociaux et culturels sont également importants parce qu’ils sont indivisibles de la protection des droits civils et politiques et essentiels à cet égard. Par exemple, une personne peut trouver qu’il est difficile, voire impossible d’exercer son droit de prendre part à l’activité politique ou à la liberté d’expression si ses besoins de base de nourriture et d’abri n’ont pas été respectés, ou si cette personne ne sait pas lire ou écrire.
Nous avons vu dans la leçon 1 que les Articles 22 à 28 de la DUDH établissaient un certain nombre de droits économiques, sociaux et culturels, y compris :
• Le droit à la sécurité sociale ;
• Le droit à des conditions satisfaisantes de travail et de s’affilier à un syndicat ;
• Le droit au repos et aux loisirs ;
• Le droit à un niveau de vie suffisant ;
• Le droit à l’éducation ; • Le droit de participer à la vie culturelle de la communauté ; et
• Le droit à l’ordre social qui articule la DUDH.
Le PIDESC, qui confère à ces droits un caractère juridiquement contraignant, a été adopté par l’Assemblé générale en 1966, la même année que le PIDCP. Comme pour le PIDCP, il aura fallu 10 ans de plus pour qu’un nombre suffisant d’États deviennent parties au traité, et à la fois le PIDCP et le PIDESC sont entrés en vigueur en 1976. Actuellement, 160 États sont partis au PIDESC2.
La structure du PIDESC est relativement similaire à celle du PIDCP. Les premières et deuxièmes parties (I et II) des deux traités énumèrent certaines garanties structurelles ou fondamentales. La partie I du PIDESC contient une garantie du droit à l’autodétermination des peuples, avec une formulation identique à celle du PIDCP.
La partie II interdit la discrimination en tout genre dans l’application des droits du traité. L’interdiction de la discrimination fondée sur « la race, le cœur, le sexe, la langue, la religion, l’opinion politique ou autre, l’origine nationale ou sociale, la fortune, la naissance ou toute autre situation » assure la protection des droits économiques, sociaux et culturels pour tous, et s’applique à chaque disposition du traité3. En outre, la partie II exige des États parties de progressivement mettre en œuvre les garanties contenues dans le PIDESC. Nous reviendrons prochainement sur cette disposition.
La partie III, base du traité, énumère les droits économiques, sociaux et culturels substantiels protégés en vertu du droit international. Le PIDESC couvre tous les droits économiques, sociaux et culturels contenus dans la DUDH, ainsi qu’une série de droits additionnels.
Article 8
1. Les États parties au présent Pacte s’engagent à assurer :
2. (a) Le droit qu’a toute personne de former avec d’autres des syndicats et de s’affilier au syndicat de son choix, sous la seule réserve des règles fixées par l’organisation intéressée, en vue de favoriser et de protéger ses intérêts économiques et sociaux. L’exercice de ce droit ne peut faire l’objet que des seules restrictions prévues par la loi et qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, dans l’intérêt de la sécurité nationale ou de l’ordre public, ou pour protéger les droits et les libertés d’autrui.
(b) Le droit qu’ont les syndicats de former des fédérations ou des confédérations nationales et le droit qu’ont celles-ci de former des organisations syndicales internationales ou de s’y affilier.
(c) Le droit qu’ont les syndicats d’exercer librement leur activité, sans limitations autres que celles qui sont prévues par la loi et qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, dans l’intérêt de la sécurité nationale ou de l’ordre public, ou pour protéger les droits et les libertés d’autrui.
(d) Le droit de grève, exercé conformément aux lois de chaque pays.
2. Le présent article n’empêche pas de soumettre à des restrictions légales l’exercice de ces droits par les membres des forces armées, de la police ou de la fonction publique.
Directives de sécurité pour les femmes
Bureau de coordination de la sécurité des Nations Unies
Nations Unies, New York
1995
1er septembre 1995
Changements climatiques : Les migrants utilisés comme arme de guerre pour résister aux engagements pris par les pays signataires de la COP26.
M. Guterres
Il ne faudrait pas que les pays, qui, suite aux accords de la COP 26, puissent trouver avantage à se servir des réfugiés et des populations, comme armes de guerre, pour ne pas avoir à respecter les engagements, pris par tous les pays signataires de la COP 26. Ce qui arrive en Biélorussie est un exemple de ce qui se passe et va se passer lorsqu’un pays ne veut pas adhérer au traité signé par les pays signataires de la COP 26. Il ne faut pas qu’un de pays producteur d’une ressource énergétique prohibée, par un chantage aux pays dépendant de cette ressource, puisse menacer de couper cette ressource aux pays dépendants de cette ressource, dans le seul but de se soustraire au traité, signé par tous les pays (ex. couper le gaz), en menaçant les pays signataires de la COP26 de représailles envers les pays qui dépendent de la ressource énergétique de ce pays, au cas où ce ou un ensemble de pays applique des sanctions à ce pays. L’utilisation des réfugiés » comme arme de guerre (hommes, femmes, enfants et populations) devrait être sanctionnée; tandis que le pays d’accueil et d’aide à aux réfugiés, groupes et populations vulnérables devrait bénéficier de l’aide internationale pour aider ces groupes et populations à traverser la crise climatique à laquelle les pays développés doivent faire face dès maintenant. Par ex. : 1. Couper les pays dépendants ou en augmenter démesurément le prix (ici, l’Union Européenne), d’une ressource : gaz, pétrole, charbon, etc. afin de résister à l’obligation de devoir baisser leur taux d’émission de CO2. en accord avec les pays qui ont signé le dit traité.
Résolution : L’ONU devrait créer un fond d’aide pour les pays d’accueil. Ici, la Pologne aurait droit à un fond d’urgence pour abriter, soigner et nourrir les réfugiés, dont un autre pays se sert comme « de la chair à canon » pour faire chanter l’Europe, en les menaçant de leur couper le « gaz » si ils imposent des sanctions au pays réfractaire, (ici, à la Biélorussie).
🇨🇦️
Derniers commentaires
17.10 | 23:04
Cécile Raymond à l'UQAM
23.06 | 01:44
🇨🇦️
Derniers commentaires
Cécile Raymond à l'UQAM
نخونده میدونم سرشار از حسی نابه
L’esprit humain doit se doter des moyens de connaissance pour assurer son propre développement, puis celui de la planète.
La maladie d’Alzeimer est la conséquence d’en esprit qui a cessé de se develo
Merci beaucoup, j’apprecie Votre commentaire et l’interest continuer...